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Minceur

 

 

Calculez votre IMC

L’IMC se calcule en divisant le poids (en kilos) par la taille (en mètres) au carré

Par exemple, si vous mesurez 1 m 66, et que vous pesez 68 kilos, votre IMC sera de 24,67 :

68 ÷ 2,7556 (soit 1,66 x 1,66) = 24,67

Cet IMC se situe dans la tranche de « poids normal » (même si vous pensez que vous êtes une baleine).

Le poids est normal lorsque l’IMC se situe entre 18 et 25.

En dessous de 18, on se trouve en situation de maigreur (et en dessous de 16, en situation de maigreur extrême).

Entre 25 et 30, il y a surpoids.

Au-delà de 30, il s’agit d’obésité (et d’obésité morbide en cas d’IMC supérieur à 35).

 

7 petits plaisirs à s’offrir sans rougir

Un soin en institut, un massage, encore mieux s’il est précédé d’une séance au hammam (histoire de se rendre compte que personne n’est parfait en dehors des magazines).

  Une nouvelle tenue de sport ou une paire de baskets, parce que finalement l’activité physique n’est pas si désagréable, et il serait temps de passer à la vitesse supérieure.

De jolis fruits dans une épicerie fine et de la lotte ou du homard, parce qu’il n’est pas question de se récompenser avec un gros gâteau (au risque d’annuler tous ces beaux résultats) et que, finalement, il existe quelques alternatives plus sexy que le blanc de poulet et le filet de lieu.

Un bel accessoire tendance (un sac à main, des lunettes de soleil de star…) puisque ce serait idiot d’investir dans une robe qui sera trop grande dans deux mois, mais que l’envie d’un changement de look est bel et bien là.

Un joli livre de cuisine diététique pour trouver de nouvelles idées et varier les délices.

Un service à thé en porcelaine, pour que le tea time (qui a remplacé l’apéro) prenne des allures de « rendez-vous chez les Windsor » et reste un plaisir.

Une balance high-tech pour surveiller au plus près les résultats obtenus et voir progressivement que le pourcentage de masse grasse diminue tandis que celui de masse maigre prend du volume

 

 

15 pistes pour garder le rythme minceur

– Définir clairement son objectif pour déterminer le poids que l’on souhaite réellement atteindre.

Relativiser et accepter de revoir l’objectif à la baisse si la barre semble placée trop haut.

Établir un calendrier précis, ponctué de différentes étapes, considérées comme des objectifs intermédiaires (quitte à ralentir la cadence des kilos pulvérisés si le rythme actuel est trop difficile à maintenir).

Visualiser mentalement la silhouette rêvée (une petite séance nostalgie dans les albums photo permet de se souvenir que ce corps idéal fut autrefois une réalité).

– Effacer de sa mémoire les échecs des précédents régimes – leur évocation pousse au découragement.

 – Rechercher le soutien de proches, d’un coach ou d’un groupe si l’on souffre d’isolement.

  Savourer chaque compliment sans modestie et le considérer comme un encouragement.

– S’assurer que la diète est la priorité du moment, sinon tenter de régler les autres problèmes avant de s’y remettre.

  Varier les plaisirs – la monotonie conduit immanquablement à la lassitude.

 – Arrêter de se trouver de fausses excuses pour laisser tomber.

  Évaluer clairement tous les bénéfices à tirer de ce régime.

  Analyser les situations qui entraînent un blocage pour essayer d’y remédier.

  Croire en ses capacités de réussite plutôt que de se dévaloriser à la moindre petite crise.

Élaborer des projets pour la suite qui offrent une perspective plus joyeuse.

  Se récompenser à chaque petite victoire.

 

Bouger sans transpirer

Préférer systématiquement l’escalier aux escalators ou à l’ascenseur (quand on habite au 12e étage, on peut couper la poire en deux).

Laisser la voiture au garage pour les déplacements inférieurs à 2 kilomètres (c’est mieux pour la planète et, au prix actuel du carburant, cela permet de faire de jolies économies). 

Rentrer à pied du boulot, ou descendre du bus ou du métro trois stations plus tôt (rien de tel pour se vider la tête après une dure journée, le stress est évacué avant d’arriver à la maison).

Bon à savoir : en optant pour des chaussures confortables, on peut allonger le pas, étirer les muscles et faciliter le retour veineux, ce qui a pour effet de gommer la cellulite et, à raison de trente minutes de marche par jour, les effets seront visibles au bout de trois semaines seulement.

– S’offrir une mini balade digestive après le déjeuner plutôt que de traîner autour de la machine à café (tant pis pour les potins du jour !).

 – Réduire de moitié le temps passé devant la télé (du temps qui pourra être consacré à faire autre chose de plus intéressant ; vous verrez, on s’en porte très bien).

 

 

Comment reconnaître un bon nutritionniste ?

• Le médecin nutritionniste vous propose une démarche globale pour maigrir. Pour y parvenir, il doit enquêter, vous écouter, tenter de comprendre pourquoi vous avez pris du poids, analyser votre rapport à la nourriture… À la suite de quoi il sera en mesure de vous préparer un programme tenant compte de votre histoire personnelle, de vos goûts et de votre personnalité.

Il se renseigne également sur vos antécédents médicaux, quitte à vous prescrire quelques examens supplémentaires, pour s’assurer qu’un régime ne mettra pas votre santé en danger.

Il vous met à l’aise, vous rassure, tente de vous comprendre sans vous juger.

Il estime votre poids de forme, même s’il diffère de celui dont vous rêvez.

Il vous accompagne tout au long de l’amaigrissement, avec un suivi qui devra durer jusqu’à la stabilisation du poids.

Le premier rendez-vous sera toujours assez long (nécessaire pour faire le bilan) ; les suivants, plus courts, seront souvent espacés de deux semaines pendant un premier temps, puis mensuels jusqu’à la fin de la stabilisation. Certains médecins nutritionnistes recommandent de revenir les consulter une à deux fois par an pour un contrôle.

 

Des activités bien ciblées

Contre le ventre mou : des séances d’abdos au club de gym, nager le dos crawlé, danser la salsa (eh oui, s’amuser, c’est du sport !).

Pour rehausser les fessiers : séances de fessiers en vidéo, course à pied, trottinette, corde à sauter.

  Alléger des cuisses dodues : courir, skier, faire du roller en famille le dimanche

  Affiner de gros mollets : natation, stretching (on évite absolument le vélo d’appartement).

 

La nouvelle « trousse à outils » minceur

• Des poêles antiadhésives (pour faire cuire sans ajouter de matières grasses).

• Un cuit-vapeur (pour préparer des légumes qui conserveront toutes leurs vitamines).

• Un pinceau culinaire (pour contrôler l’ajout de matières grasses et cesser définitivement de verser l’huile d’olive à vue de nez).

• Une balance de cuisine (qui permettra d’estimer plus précisément la valeur calorique).

• Des papillotes en silicone (pour faire cuire le poisson sans se battre avec le rouleau de papier alu).

• Des moules en silicone (le démoulage facilité permet de limiter l’ajout de matières grasses).

 

Pourquoi faut-il faire du sport pour maigrir ?

Nombreuses sont celles qui imaginent qu’un bon gros footing suffira à anéantir les conséquences de cet énorme sachet de noix de cajou avalé la veille, accompagné de quatre gin tonic.

Sauf que les bénéfices du sport se font sentir uniquement sur le long terme.

    Décryptage : en faisant un régime sans faire de sport, l’organisme va puiser sur les réserves de graisse du corps, mais aussi sur les muscles, pour se fournir en énergie. Or, si le régime est associé à des activités physiques, les muscles vont se développer, ce qui limitera les pertes de masse maigre, et la perte de poids s’effectuera uniquement sur la masse grasse, même si cela ne change rien sur la balance. L’activité permet donc de rester en forme, de tonifier (donc d’affiner) la silhouette, mais surtout d’augmenter le métabolisme de base, ce qui signifie accroître la dépense énergétique au repos (la période pendant laquelle nous dépensons le plus). Il s’agit donc d’un super bonus dont on aurait tort de se priver : il est temps d’aller investir dans une bonne paire de baskets.

    Reste à savoir vers quel type d’activité s’orienter. Les professionnels de santé estiment que tout le monde (même ceux qui n’ont pas besoin de perdre de poids) devrait effectuer l’équivalent de trente minutes de marche rapide tous les jours. Cette activité peut être fractionnée, mais si vous avez du mal à estimer le volume de votre activité quotidienne, un podomètre vous donnera une idée : trente minutes de marche équivalent à 10 000 pas.

L’activité physique permet non seulement d’affiner la silhouette et d’augmenter le métabolisme de base, mais les effets bénéfiques ne s’arrêtent pas là. Le cœur est tonifié, la peau raffermie, les toxines sont éliminées et le cerveau libère des endorphines procurant instantanément un état de bien-être, qui devrait donner envie de recommencer très vite. Le sport contribue aussi à se réapproprier son corps, à le considérer avec davantage d’indulgence, à apprécier sa métamorphose (tiens, ça pendouille un peu moins sous les bras, chouette alors !), à réussir plus facilement la stabilisation du poids et, forcément, à reprendre confiance en soi. Ce serait ballot de ne pas s’y mettre illico !

 

Trucs et astuces pour tenir le coup…

Mieux gérer les moments à risques. Si, en rentrant du bureau, on avait tendance à se jeter dans le frigo pour survivre jusqu’à l’heure du dîner, il faut se trouver une occupation (sudoku, lecture, ménage, activité physique, tricot, repassage… tout est bon à prendre !). Et si l’heure à risques se situe aux alentours de 23 heures, on se brosse les dents juste après le dîner pour éviter de manger à nouveau.

Boire beaucoup d’eau. Ça marche aussi avec le thé et les tisanes, car l’eau remplit l’estomac et accroît la sensation de satiété (il faudrait d’ailleurs avaler un grand verre d’eau avant chaque repas).

Manger plus lentement. La sensation de satiété parvient au cerveau seulement 10 à 15 minutes après le début du repas, impossible d’avoir l’impression d’être repue en engloutissant son pot-au-feu en 8 minutes chrono. On essaie donc de pose rla fourchette toutes les 2 ou 3 bouchées, et de prendre bien conscience de la saveur des aliments.

  Varier les goûts et les couleurs. La monotonie est certainement la pire ennemie du régime, c’est donc le moment de découvrir de nouvelles épices, des herbes fraîches, de s’initier à la cuisine d’ailleurs (les cuisines thaï ou japonaise sont reconnues pour leurs vertus diététiques, c’est le moment de s’y mettre).

S’occuper davantage de soi. Tout le monde sait bien qu’une crème amincissante ne fait pas disparaître 20 centimètres de tour de cuisse en un coup de baguette magique… Mais les massages permettent de lisser la peau et de reprendre contact avec ce corps trop longtemps négligé. En prenant soin de soi, on finit par se réconcilier avec son image.